jeudi 31 décembre 2009
mardi 29 décembre 2009
PIERRE CLEMENT MEDAILLE
mardi 22 décembre 2009
LE LADIES CIRCLE AU MARCHE DE NOEL
lundi 21 décembre 2009
JOYEUX NOEL
STATUTAIRE STUDIEUSE
jeudi 17 décembre 2009
INVITATION DU CLUB AGORA DE NANCY
samedi 12 décembre 2009
CLAUDE (L) EN PAGES "FRANCE"
«Les trois mutuelles restent indépendantes»
« Rien ne change pour les sociétaires », affirme Claude Lescarcelle délégué départemental de la Maif en Meurthe-et-Moselle.
- Comment vos sociétaires du monde de l'éducation vivent-ils ce rapprochement avec ceux du monde de l'artisanat, des commerçants et des indépendants ?
- Ils ont bien compris que ce projet ambitieux n'est nullement une fusion des trois mutuelles, mais une mise en commun de moyens pour disposer d'une plus forte capacité financière et avoir une meilleure résistance ensemble face aux agressions des assurances de l'économie libérale. Chacun garde son identité. Ce projet ne changera rien dans leur relation avec leur mutuelle. Rien ne sera modifié ni dans les statuts, ni pour le personnel, ni pour les locaux, ni dans les façons de procéder. Il n'y a aucune raison de s'inquiéter : nous restons concurrents les uns par rapport aux autres. C'est l'indépendance totale des trois mutuelles qui se rapprocheront simplement quand cela sera nécessaire pour prendre des décisions communes, passer des alliances dans le domaine de la réassurance, ou des achats. Nous voulons avoir une plus grande force par rapport aux propositions que nous voulons faire à nos sociétaires respectifs.
- Peut-on vraiment parler de solidarité entre une grosse mutuelle, la Macif aux 4,7 millions de sociétaires, et deux moyennes ?
- Bien sûr, et dans le respect de chacun. Personne ne veut prendre le pas sur les autres. Nous voulons apporter une réponse mutualiste à un environnement qui bouge vite. Comme il y a déjà des bancassureurs libéraux (et je pense au Crédit Mutuel qui n'a pas la même conception que nous de la mutualité), nous allons devenir des assurbanques qui pourront leur opposer nos propres produits d'assurance et de prêts aux gens qui en ont besoin. Nos trois mutuelles travaillent déjà ensemble depuis longtemps ne serait-ce qu'au sein d' Inter Mutuelles Assistance ou de l'édition des cartes vertes où nous disposons d'un groupement de moyens. Nous voulons élargir notre solidarité de moyens.
CLAUDE (R) SUR TOUS LES FRONTS
Renouvellement dans la continuité
Les délégués départementaux de l'Education nationale ont fait eux aussi leur rentrée. Toutes les écoles de la circonscription sont pourvues.
Claude Richard ne cachait pas sa satisfaction lundi soir devant ses DDEN réunis dans les locaux de l'inspection primaire. Une réunion à laquelle assistait la maîtresse des lieux, Catherine Antoni, l'inspectrice de l'Education nationale.
Si Claude Richard est content, c'est que ses dix-neuf délégués départementaux de l'éducation nationale couvrent l'ensemble des écoles primaires de la circonscription de Lunéville. Et ce n'est pas le cas partout, il peut en témoigner puisqu'il est également président départemental des DDEN.
Souvent des enseignants en retraite, ou des amis de l'école, les DDEN ont pour mission la surveillance des bâtiments scolaires, font le lien entre l'école et la municipalité, les usagers et l'administration. Ils n'interviennent pas dans le domaine de la pédagogie, mais membres de droit de l'école publique, ont une éthique à faire respecter.
Claude Richard l'a répété plusieurs fois lundi soir, rappelant que « les délégués de l'Education nationale ne sont pas neutres, mais impartiaux. Nous sommes au-dessus de la mêlée », estime le président départemental invitant ses DDEN à donner quelques exemples de leurs interventions pour mieux situer leur rôle auprès de Mme Antoni.
Laquelle a profité de cette réunion pour faire un bilan de la dernière rentrée. Positive en général même si des « problèmes de communication » ont pu créer des litiges. Notamment dans le regroupement Ancerviller- Nonhigny-Barbas. « Il n'existe plus de seuil pour décider d'une ouverture ou d'une fermeture de classe. Il existe des effectifs à partir desquels on étudie la situation », a nuancé l'inspectrice.
Laquelle dispose de six enseignants dits en surnombre (mais tous ne sont pas présents physiquement), qu'elle a dispatchés entre des écoles ou regroupements en ayant besoin pour leur fonctionnement. Ainsi à Ancerviller, mais aussi pour le RPI Hériménil, Rehainviller et dans une école de Lunéville.
lundi 7 décembre 2009
UNE BELLE SOIREE
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